Sommaire
Masque Facial de Protection de la marque Française SURFACES
ATTENTION : à lire Absolument !!!
Devant le changement de tournure des événement, NOUS VOUS INVITONS A LA PLUS GRANDE PRUDENCE DANS L’ACHAT DE VOS MASQUES.
En effet, leur efficacité n’est plus prouvée du fait des nouvelles variantes qui sont récemment apparues.
Ainsi, par mesure de sécurité, nous préférons vous inviter à vous détourner de ce type de solution, qui pourtant étaient, il y a encore quelques mois, particulièrement intéressantes.
Merci de votre compréhension.
Les masques de protection ont subitement envahi nos vies. Ils sont même aujourd’hui devenus une obligation. Pour soi. Pour les autres, aussi. Pour tout le monde en fait.
J’avoue que nous avons hésité avant de publier cette page. En effet, nous ne souhaitons pas “profiter” de cette pandémie en publiant du contenu en lien avec toute cette catastrophe.
Ceci dit, il s’est passé deux choses :
- vous nous avez envoyé tellement d’emails pour savoir ou trouver des masques de qualité… et a priori l’aspect obligatoire ne fait qu’augmenter ce phénomène…
- nous avons, par hasard, en cherchant aussi, trouver un produit de qualité, innovant ET MADE IN FRANCE ! Si, Si… MADE IN AUVERGNE même, pour être plus précise !
Comme c’est une marque Française, orginaire d’Aubergne, nous les avons contactés et ils nous ont donné ce code promo UNIQUEMENT POUR VOUS … amies et amis lecteurs ! (mais bon vous pouvez partager…)
Après avoir bien discuté,
nous nous sommes rendus compte
qu’ils avaient un réel savoir-faire
dans les tissus “intelligents” !
En effet, les concepteurs des masques ont une autre marque : la marques NageLibre. (marque sur le site de laquelle vous pouvez acheter les masques).
Nous nous sommes ainsi promis de collaborer plus encore très prochainement pour tester leurs autres produits… ce sera l’occasion d’écrire de nouveaux posts.
D’ici-là, faites-vous plaisir! Et surtout PROTEGEZ-VOUS!
De notre côté, nous n’avons aucun problème à les recommander … les yeux fermés et le visage bien protégé ! 😉
Bref, comme nous vous l’annoncions sur notre page Facebook il y a peu, voici tout ce que nous pouvons vous dire et conseiller, comme toujours, à notre humble niveau.
Bonne lecture !
Marie.
Qu’est-ce qu’un masque de protection facial ?
Bien qu’ils existent depuis des lustres, les masques de protection sont devenus subitement, à cause du Coronavirus, bien plus connus. Pour empêcher la propagation de ce dernier, porter un masque fait désormais partie de la vie quotidienne. Mais savez-vous réellement ce qu’est un masque de protection ?
Comme son nom l’indique, un masque de protection est un accessoire de protection.
Il cache la bouche ET le nez.
L’exemple le plus connu est celui des chirurgiens qui s’en servent au bloc opératoire pour éviter de propager des bactéries à leurs patients. Actuellement, le grand public l’utilise pour se protéger des virus et des bactéries. Il sert également de filtre l’air. Il retient ainsi toutes les particules qui peuvent pénétrer dans nez, puis dans les poumons comme les poussières ou les fumées et surtout les agents pathogènes.
Il sert alors à se protéger
mais aussi à protéger les autres !
Il existe plusieurs types de masques de protection catégorisés selon leur niveau de filtration, et donc de protection.
Le masque chirurgical est le plus courant. Souvent porté en milieu hospitalier, il est jetable et doit être remplacé tous les 3 à 4 heures.
Les masques FFP, quant à eux, assurent une parfaite protection contre les agents infectieux en suspension dans l’air.
Il existe, par ailleurs, des masques dits lavables. Ils sont souvent en tissu et peuvent être réutilisés, c’est-à-dire portés à plusieurs reprises.
Quand mettre un masque de protection ?
Le port du masque est d’abord obligatoire dans les transports en commun. Cela s’applique à tous les jeunes et adultes de plus de 12 ans. Donc, mettez le vôtre si vous prenez le bus, le taxi, le tramway ou le métro.
Cette nouvelle règle s’applique non pas par peur de restriction, mais par respect des gestes barrières, et pour le bien de tous.
À aucun moment, on n’est pas censé retirer cet accessoire dès lors qu’on met le pied dehors. Évidemment, cela dépend de la localité. Les risques de transmission du virus restent imminents donc prudence oblige. Et même si vous vous déplacez en famille dans votre voiture, enfilez le masque.
Le port du masque s’applique également dans tous les lieux publics. Cette règle est valable pour tout le monde sauf pour les cas exceptionnels. Les individus souffrants d’incapacité physique ou intellectuelle, incapables d’enlever leurs masques, ne sont pas concernés. Il en va de même pour les bébés et les moins de 12 ans.
Donc, ne retirez pas votre protection quand vous êtes dans une gare ou dans un aéroport. Les zones empressées de foule sont un endroit à risque pour la contamination. Les porteurs sains, qui ne présentent aucun signe de maladie, rôdent sans le savoir autour de vous.
Le port du masque est recommandé dans les enseignes privées ou publiques. Tous les collégiens et les universitaires devront se munir de masques pendant qu’ils travaillent. Et même pendant les séances de pause, les échanges doivent se faire avec le masque. Cependant, les écoles primaires ou secondaires font exception à cette discipline.
Pendant la prise d’un ascenseur, le port de masque est strictement exigé. Ce lieu est considéré comme un nid de virus, car les parois peuvent facilement en dissimuler. En bref, vous êtes libre de vous déplacer sans masque uniquement chez vous. Toutefois, liberté n’est pas synonyme de non-contamination. Le virus sans sommation. II est invisible. C’est le souci avec ce virus… Il peut se transmettre de père en fils ou entre frère et sœur ou encore entre des conjoints.
Le masque sert à couvrir le nez et la bouche. Il empêche ainsi la contamination entre humains. À savoir, le COVID-19 se transmet par l’intermédiaire de la salive et des objets infectés. En cas d’éternuement ou de discussion rapprochée, le masque va limiter la propagation. Les postillons seront ainsi retenus.
Pourtant cet accessoire n’est pas efficace à 100 %. L’air brut que l’on inspire peut contenir des particules de microbes et de virus libérés par les personnes infectées. C’est pourquoi le masque ne peut pas stopper totalement l’air qui s’infiltre dans les narines. Toutefois, il retient une bonne partie des particules contaminant.
Le masque joue le rôle de barrière, l’une des plus efficaces jusqu’à présent.
Alors, équipez-vous de cet accessoire pour rester sain et sauf et/ ou ne pas contaminer qui que ce soit… Avec le port du masque, on peut ralentir et même freiner le nombre de contaminations, voire même sauver des vies.
Attention, porter un masque est une chose, mais bien mettre le sien en est une autre. Pour que cet accessoire fasse effet, il faut le mettre correctement. Suivez donc à la lettre les consignes d’utilisation sinon cela ne servira à rien. Enfin, respecter la distanciation sociale en plus du port du masque peut sauver des vies, et même la vôtre.
Pour faire simple : un masque doit couvrir la bouche ET le nez !
Comment bien mettre un masque de protection ?
Avant d’enfiler le masque, veuillez vérifier à la lettre les consignes de la marque que vous avez.
Tous ne se ressemblent pas surtout au niveau du cordon de fixation et de l’ajustement du nez. Certains contournent la tête et la plupart passent derrière les oreilles.
Faites attention à ce que ces détails ne vous échappent pas.
Les Masques FFP2
Pour le mettre correctement, il faut premièrement le plier en deux sur sa largeur. Ensuite, vous allez le plaquer sur le visage en couvrant bien le nez jusqu’au menton. Les attaches à leurs tours devront passer, l’une derrière la tête et l’autre sur la nuque. On a alors comme vu de profil un cordon en dessus et en dessous des oreilles.
Ce genre de masque possède une partie métallique sur la partie supérieure. Pressez cette zone avec vos doigts afin qu’elle épouse la forme du nez.
Enfin, faites le test pour voir s’il n’y a pas de fuite. Normalement, le masque se comprime légèrement à chaque inspiration. Normalement, le modèle FFP2 est réservé au soignant qui entre en contact direct avec les malades.
Le masque chirurgical
Il est léger et moins épais que le précédent. Le côté pile et le côté face ressemblent de très près. Pour ne pas vous tromper, vérifiez sur la surface le nom de la marque de fabrique ou l’insigne EXT. Ils indiquent le côté externe de votre protection. Pour le monter, veuillez le plier en deux. Positionnez la partie supérieure sur nez. Ensuite, couvrez la bouche et le dessous du menton avec la partie restante.
S’il s’agit d’un modèle à lanière, faites des nœuds pas trop serrés ni trop lâches derrière le crâne. En revanche dans le cas d’un exemplaire à élastique, il suffit de contourner les oreilles avec les cordons. Et pour finir, n’oubliez pas de bien plaquer la surface au-dessus de nez afin de garantir l’étanchéité.
Le modèle en tissu
Celui-ci ne présente généralement pas de partie métallique donc, pas la peine de le compresser sur le nez. Accrochez-le tout simplement sur votre visage et c’est tout. Sinon, faites-en sorte qu’il ne glisse pas trop vers le bas et qu’il couvre toujours votre nez.
Quelles sont les précautions à prendre avec le port du masque ?
-
Plaquez votre masque sur le visage
Quel est le truc pour bien mettre son masque ? Il faut s’assurer que celui-ci se colle bien sûr le visage. Inspirez plusieurs fois et vous verrez si oui ou non, il suit le mouvement. Dans le premier cas, vous pouvez sortir et commencer la journée. Dans le second cas, faites un peu d’ajustement.
Il se pourrait que la barrette nasale ne soit pas bien plaquée. Du coup, elle laisse une certaine ouverture sur le dessus du masque. Ce genre d’erreur est à éviter à tout prix, car on ne peut laisser la moindre brèche au virus. Pour y remédier, pincez du bout des doigts la barrette de gauche comme de droite pour qu’elle s’accroche à votre nez. Ce simple petit truc réduit de beaucoup le risque de contamination.
Cela ne concerne pas les protections en tissu qui ne possèdent pas de structure métallique.
-
Couvrez votre menton
Un masque de protection doit couvrir le menton. Un modèle trop court, à l’exemple de certaines variantes en tissu, ne peut assurer votre protection. Équipez-vous donc au moins d’une protection assez large pour contenir le nez, la bouche et le menton ensemble.
Il en va de même si vous placez le vôtre de manière incorrecte. Souvent, il est placé trop en hauteur par rapport à la facette. Ainsi, la couche inférieure se trouve tout près des lèvres. Dans la plupart des cas, il est trop bas et ne couvre qu’une partie du nez.
Comme astuce, ayez un certain repère avant d’enfiler la protection. Le milieu du masque doit se retrouver sur la bouche. Il aura ainsi une meilleure tenue sur votre visage. De ce fait, la fixation sera correcte et le masque ne va pas bouger. Cela évite de corriger sans cesse et de le toucher avec les mains.
Le port du masque ne garantit pas à 100 % votre protection, malheureusement ! Cela réduit tout simplement les risques de contamination. On peut dire que le masque joue le rôle d’anti-balle. N’empêche, son efficacité n’est pas assurée à 100 %.
Mais, au lieu de recevoir de plein fouet les bactéries, ces dernières seront atténuées. Donc, enfilez le vôtre tout en gardant une distance d’au moins 1 mètre. Donc, ces deux règles doivent être appliquées en même temps. Vous vous protégez ainsi vous-même et tout votre entourage.
-
On n’y touche plus après installation
Il ne faut en aucun cas toucher au masque quand il est installé sauf si vous la retirez définitivement. Pour éviter ce mauvais geste ou même ce réflexe de dégager les voies nasales, assurez-vous qu’il est bien posé et bien étanche avant de quitter la maison. Sachez que la surface externe du masque attrape facilement les microbes et les bactéries. Si on la touche des doigts, il y a de fortes chances que l’on soit contaminé après à cause des virus sur les mains.
-
Protégez-vous les mains pour ajuster le masque
Normalement, le fait de toucher son masque en cours d’utilisation est déconseillé. On peut en effet attraper le virus à travers les mains ou les doigts. Cependant, faute de montage, le masque peut bouger. Dans ce cas, vous êtes obligé de le remettre en place.
Pour éviter une éventuelle contamination, protégez-vous les mains avant d’agir. La meilleure des solutions, c’est d’enfiler un gant. Sinon, utilisez un gel hydroalcoolique avant et après l’intervention.
-
Retirez le masque avec délicatesse
Le masque de protection doit être bien manipulé. Alors, ne touchez pas la surface quand vous l’enlevez. Retirez-le plutôt au niveau des cordons.
Avec le modèle à élastique, pincez les deux côtés simultanément et retirez le tout doucement. Pour la version à lanière, desserrez les nœuds avec délicatesse. Si vous intervenez de manière brusque, les particules peuvent se libérer de la couche et vous infecter par la suite. Plus vous l’agitez, plus il y a risque de propagation.
Ne gardez pas le masque autour du coup, ni sur le menton, ni dans votre poche. Cela ne fait que favoriser la prolifération. Toutes les parties en contact direct avec le masque ont de fortes chances d’être infectées. Plus longtemps vous conserver le vôtre, plus il y a danger.
Comme astuce, tenez-vous près d’une poubelle au moment de retirer le masque. Ainsi, en deux, trois mouvements, vous vous débarrassez de ce matériel à risque.
-
Jetez le masque après utilisation
On ne réutilise pas un masque après usage. Après ce laps de temps, l’extérieur est gorgé de saletés. Certes, on ne le voit pas à l’œil nu, mais c’est pourtant la réalité. On jette son accessoire illico à la poubelle après 3 à 4 heures de mise en service. Cela concerne les modèles chirurgicaux ou jetables. Il faut adopter la même routine si le vôtre est trempé de sueur avant le temps imparti. Donc, ayez des masques en réserve sur vous quand vous quittez la maison.
Quant aux exemplaires en tissu, on peut les réutiliser plusieurs fois.
Pensez toutefois à les laver le plus souvent possible. Un nettoyage journalier avec de l’eau et du savon est vivement conseillé pour ce genre de protection. Libre à vous de le réutiliser (si la surface est intacte et non trouée, bien sûr !).
Les différents types de masques de protection
Masque chirurgical
Il s’agit d’un masque antiprojection. Comparé aux autres modèles, il parait très fin. Il est conçu à partir de tissu chirurgical. Il est surtout destiné aux patients présentant des symptômes comme de la toux et des éternuements. Mais tout peut s’en servir sans problème. Il sert de rempart contre la salive et les particules de taille supérieure à 3 microns.
C’est un masque non réutilisable : on le jette après 4 heures d’utilisation. Pareil s’il est mouillé ou sali.
Masque anatomique
Ce genre de masque est généralement conçu avec du caoutchouc naturel. Il n’est pas souple comme ceux en tissu ou en tissu chirurgical. Son point fort, c’est qu’il est résistant. Une température d’une centaine de degrés n’a aucun effet sur lui. Il dispose d’une valve et d’une entrée d’oxygène ainsi que d’un contour gonflable. Ce dispositif s’emploie en salle d’urgence pour la réanimation. Le public ne s’en sert pas, exception faite des malades… ou de ces temps de pandémie.
Masque de protection FFP2
Le masque FFP2 est plus confortable et performant que les précédents modèles. Sa forme diffère d’un fabricant à un autre. Son efficacité est estimée à 94 %. Il arrive à neutraliser les fines particules de 0,01 à 1 micron. On le retrouve généralement dans les centres hospitaliers. Les soignants et aides-soignants entrant en contact direct avec les malades s’en servent. Il peut être porté toute la journée, c’est-à-dire que le temps d’utilisation recommandé est de 8 heures.
Masque de protection FFP3
Le modèle FFP3 tient la première place en matière d’efficacité. C’est le plus performant de tous. Il filtre 99 % des aérosols compris dans l’air. Il protège contre la poussière et les particules des microbes pouvant affecter l’organisme. Il comprend une ou deux soupapes conçues pour favoriser la respiration. Certains sont jetables et d’autres réutilisables. Compte tenu de ses avantages, son prix est plus élevé que les modèles FFP1 et FFP2.
Les masques jetables
Les masques jetables sont les masques à usage unique. Après une journée d’utilisation ou même moins, on les retire et on les jette. Ils ne sont pas réutilisables. On les met de préférence dans une poubelle étanche pourvue de couvercle. Si possible, il faudrait les encastrer dans deux films plastiques avant de le jeter dans la poubelle.
En fait, depuis l’augmentation de leur utilisation du fait de la pandémie, les masques jetables sont laissés un peu partout dans la nature. On en trouve souvent près des poubelles, dans les ruelles, en bordure de trottoirs, aux alentours des stations de bus ou de métro, etc. Ils sont devenus les nouveaux agents polluants de l’environnement. Après usage, on ne peut pas les laver à l’eau et au savon ni avec un produit désinfectant.
Tous les masques chirurgicaux sont jetables. Ils prennent facilement la poussière et l’humidité. Une fois utilisés, ils ne servent plus à rien !
Les modèles de la gamme FFP sont aussi à jeter. Cela comprend le modèle FFP1 et FFP2 et certains exemplaires FFP3. Certes, ils semblent assez résistants, toutefois, ils cèdent après une journée d’utilisation. Leurs matières de fabrication ne permettent pas un usage continuel.
Les masques en tissu réutilisables
Les masques de protection en tissu sont généralement réutilisables.
Ils supportent l’eau et peuvent être lavés avec de l’eau savonneuse. C’est d’ailleurs l’avantage principal de ces modèles. En plus, ils ne valent pas grand-chose par rapport aux modèles FFP. Ils ne coûtent que quelques euros.
Ils peuvent reprendre du service s’ils ne sont pas encore abimés ou troués. On les fabrique souvent de manière artisanale. Pourtant, ils gagnent du terrain dans le cadre de la lutte contre le virus et de la pandémie.
Son efficacité n’est pas prouvée ni approuvée par les spécialistes en la matière. Ils ne suivent pas la norme EN 149. Ils sortent des ateliers et sont utilisables tout de suite après. Les masques en tissu ne passent donc pas par des tests en laboratoire ou des tests pratiques avant d’être mis en circulation. On ne l’utilise pas dans les centres hospitaliers. Les médecins et le personnel soignant se tournent vers les modèles chirurgicaux plutôt que ceux en tissu.
Cependant, ils font l’affaire pour une utilisation publique. Ils filtrent 70 à 90 % des virus et aérosols qui représentent une menace pour la santé. Ils protègent partiellement son utilisateur de même que ses proches. On ne peut spécifier véritablement quel type de bactérie ils filtrent. Mais leur efficacité semble être prouvée par la diminution des cas contacts (dans les localités qui comptent le plus d’utilisateurs).
Les dates de péremption des masques
Les masques de protection ont une date de péremption de 4 à 5 ans. Cela concerne les modèles répondant aux bonnes conditions du stockage. Cela signifie qu’ils doivent être placés dans un endroit sec, à l’abri du soleil et à une température comprise entre 15 à 25 °C.
Comme tous les produits consommables, ils s’usent peu à peu après leurs sorties d’usine. Au fur et à mesure que le temps passe, les sangles perdent en élasticité, la barrette nasale lâche et devient peu malléable, l’étanchéité de la coque diminue, etc. En fait, un masque périmé n’est plus efficace à 100 %. Le maniement d’un tel accessoire représente un risque pour la santé. Sa qualité de filtration n’assure plus la protection du patient.
En plus, la crise sanitaire a entrainé la pénurie de masques ces derniers mois. Pour répondre aux besoins grandissants de la population mondiale, les responsables de santé conseillent l’usage de modèles expirés. Oui, ils demeurent opérationnels malgré tout. Les articles en assez bon état datant de moins de 24 mois après péremption reprennent donc le service. Pourtant, ceux-ci restent une solution de dernier recours pour les personnels soignants et les patients. De plus, les produits doivent passer un test avant d’être mis à leur disposition.
Les Masques Norme AFNOR
Les masques qui répondent à la norme AFNOR sont des modèles “artisanaux”. Tout le monde peut en créer chez soi à condition d’avoir les composants nécessaires et les accessoires adéquats.
Ce type de protection est fabriqué à partir de tissu classique et non chirurgical. Il supporte l’eau et peut se laver et s’utiliser à plusieurs reprises. Il est conçu pour le grand public et non pour le personnel médical ni pour les personnes à risques. Il joue le rôle de barrière seulement, mais n’assure pas une pleine protection dans les endroits très exposés au virus. Donc, vous pouvez vous en servir pour faire la course, pour vous déplacer à l’extérieur, hors des centres hospitaliers.
Le masque AFNOR couvre le nez, la bouche et le menton.
Il n’est pas équipé de soupape de filtration. En effet, la partie extérieure se compose d’une couche de tissu de 150 g/m² tandis que l’intérieur doit faire 10 g/m². À titre de comparaison, ce modèle se classe dans la catégorie 2. Cela dit, il est moins performant que lesdits FFP2 et peu onéreux. Beaucoup se tournent vers cet article puisqu’il est plus abordable. Et heureusement, il arrive à éviter les projections de salive et de toute autre particule contaminant ; de même pour toutes les personnes ne présentant pas de signe de maladie.
La Technologie spécifique des Masques de la marque SURFACES
Les Masques SURFACES®️ sont les premiers masques Français auto-désinfectant !
Les masques de la marque SURFACES sont destinés à tout le monde. Ils n’interviennent pas dans le cadre médical. On s’en sert uniquement dans les lieux publics : dans la rue, dans les supermarchés, dans le métro… Les individus en centres hospitaliers en contact direct avec la maladie ne l’utilisent donc pas. Cela comprend les malades, les soignants, les visiteurs et les personnes qui visitent leurs proches dans des établissements de santé.
On distingue les masques de la marque Française SURFACES des autres modèles par leur technologie Viroblock.
Cette technologie Suisse consiste à imprégner la couche externe des tissus d’ions d’argent.
De ce fait, ces derniers réagissent instinctivement aux moindres bactéries. C’est pourquoi on les appelle « masques auto désinfectants ». Tous les virus qui s’y collent sont neutralisés en un rien de temps, et ce, sans qu’il ait été nécessaire d’ajouter un produit désinfectant. À aucun moment l’utilisateur n’a à intervenir pour essuyer quoi que ce soit sur le tissu. Ainsi, le fait de toucher à main nue la surface externe n’est pas vraiment risqué pour l’individu.
Le plus de cette marque Française et que les masques SURACES sont de fabrication européenne. Ils répondent à la norme AFNOR de catégorie 1 en matière d’accessoire antivirale et antibactérienne. La direction générale des armées se charge des tests avant toute approbation. C’est ainsi que sont nés ces nouveaux articles. Ils sont désormais disponibles pour le grand public, les particuliers comme les entreprises. Il en va de même pour la technique de fabrication. On se réfère à la matrice d’AFNOR pour reproduire des exemplaires faits maison.
Le design des masques Surfaces est très intéressant.
Certes, les bordures restent un classique avec les coutures assez visibles. Cependant, le confort y est !
Ces masques sont formés de plusieurs tissus et prennent une forme rectangulaire. Sur sa longueur, on retrouve deux plis. Ces masques peuvent donc s’étirer légèrement et gagner en largeur. Ils couvrent ainsi le nez jusqu’au menton. De ce fait, ils sont compatibles à toutes les morpholoigies et les formes de têtes qu’elles soient petites, grandes, carrées, allongées…
Avec les 3 couches qui les composent, les modèles de masques SURFACES sont bien respirables. Leur taux de respirabilité (à l’air) tourne autour des 96 L/s. S-1 pour une dépression de 100 PA. En d’autres termes, on ne ressent pas trop d’opposition à la moindre inspiration. Toutefois, toutes les versions, en tissu ou non, doivent être retirées du visage au moins toutes les 4 heures.
En matière d’étanchéité, les masques de la marque SURFACES filtrent à un niveau de 90 % !
Ils retiennent toutes les particules supérieures à 3 microns. Il faut garder en tête que tous les accessoires existants ne garantissent pas une protection maximale de 100 % même pour les plus performants. Et en plus du port du masque, il faut respecter les gestes-barrières.
Les masques SURFACES sont disponibles en plusieurs couleurs. Avec les différents modèles à disposition, vous avez le choix entre le bleu ciel, le bleu foncé et le dégradé. Cela n’optimise aucunement votre protection physique, pourtant cela ravit. Au lieu de porter la même couleur, vous pouvez changer de masque et assortir le coloris avec votre tenue. Tant qu’a faire …
Les masques SURFACES sont des modèles durables. Ils prennent l’eau et passe sans le moindre souci à la machine à laver. Un nettoyage de trente minutes suffit.
À noter que ces accessoires ne supportent pas une température de plus 60 % C. En revanche, ils peuvent être lavés plus de trente fois avant d’être jetés. Et avec un bon entretien, votre modèle SURFACES peut durer beaucoup plus longtemps !
Mon avis sur les masques en tissu réutilisable de la marque SURFACES !
Les masques de la marque SURFACES sont très confortables.
Contrairement aux modèles en forme de “bec de canard”, ils ne gainent pas. Leurs designs assez fins ne déforment pas le look de son utilisateur.
En plus, ils supportent beaucoup mieux l’humidité que les masques chirurgicaux. Ainsi, vous éviterez les traces de transpirations souvent visibles à l’extérieur des masques. Encore une fois, ils remportent haut la main le confort d’utilisation.
Personnellement, je ne les sens même pas quand je les porte !
Ils épousent assez bien la forme du nez, ce qui optimise davantage l’étanchéité et donc le niveau de protection. La poussière et les gouttelettes d’eau ne peuvent pas y pénétrer. Leur efficacité en matière de protection est comprise entre 70 à 90 %.
L’autre avantage de ces modèles, c’est leur rentabilité. Le prix de trois pièces reste bas, même plus qu’abordable que bon nombre d’autres modèles sur le marché.
En plus, vous pouvez les utiliser à plusieurs reprises sans les abimer. Aussi, un masque SURFACES supporte jusqu’à 30 lavages. On le nettoie à 60 °C dans une machine à laver, on sèche à l’air libre, on repasse, puis on l’enfile à nouveau.
Ainsi, ce modèle présente une durée de vie d’un mois minimum. Et pour moins de 20 euros, vous avez 3 mois d’autonomie et 3 mois de protection garantie et des dizaines d’euros d’économie.
La présence d’ions d’argent sur les masques Surfaces fait aussi toute leur différence.
Grâce à ces particules, la sécurité augmente d’un cran. Les virus et bactéries qui entrent en contact avec la surface externe sont dissouts en quelques secondes. Bref, c’est tout simplement rassurant.
Mais sécurité d’abord, cela ne vous donne pas le droit de déroger à la règle commune. Même avec ces équipements, vous devriez respecter la distanciation sociale et le nettoyage des mains aussi souvent que possible.
Personnellement, je n’ai pas trouvé mieux et surtout aussi confortable !
Ils viennent de sortir une gamme « Elite », que J’ai pu tester et qui est encore plus confortable surtout au niveau du nez et du menton. Aussi, il est possible d’ajuster le cordon au niveau de chaque oreille.
Ceci dit, ce n’est pas tout ! Chaque masque est livré avec deux filtres qui garantissent une efficacité a 100% !
Alors pour récapituler : 2 Lots sont proposés !
Lot de 3 Masques AFNOR Auto-Désinfectants
Ce lot se présente comme sur la photo, ci-dessus.
Les Plus !
Le tissu et la technologie présente dans ces masques
Le confort en termes de respiration : on se sent à l’aise !
Les couleurs sont variées et vraiment sympa
Les Moins !
Confort au niveau du menton.
Mon avis !
Ces sont les premiers masque que j’ai reçu. Clairement, ils sont différents de ce que l’on peut trouver sur le marché. Je me suis sentie à l’aise immédiatement. Mis à part au niveau du mention ou je trouve qu’ils ont un effet masque chirurgical.
Au nvieau du lavage : aucuns soucis ! Ils teinnent la longeur… y compris les élastiques : ils ne se détendent pas.
Au quotidien, ils sotn trés pratique et j’avoue que l’on me demande où je les ai trouvés… 😉
Mon Choix !
Nos préférés : le Lot de 2 Masques AFNOR Auto-Désinfectants “Elite”
Un des critères de distinction de ce modèle est petit pochon (en photo, ci-dessus, dans l’échantillon que nous avons reçu) pour stoker vos masques et vos produits comme votre gel Hydroalcoolique.
En plus, vous trouverez également, pour chaque masque, 2 filtres que vous pourrez glisser dans la petite poche façon “kangourou” se trouvant à l’intérieur du masque. En faisant cela, 100% sécurisé !
Aussi, je trouve la forme de ce modèle bien plus confortable, tant au niveau du nez que du menton. Les élastiques de forme ronde agrémentent le tout, car on ne les sent absolument pas. Même sur la longueur de la journée.
Les Plus !
Le niveau de sécurité !
le niveau de confort tant au niveau du nez que du menton.
On respire bien même avec les deux filtres.
Les Moins !
Franchement : aucuns.
Mon avis !
Une nette amélioration des premiers modèles. Mis à part le côté 100% protection, grâce aux deux filtres, je trouve le niveau de confort parfait. Au niveau du nez et du menton : c’est TOP ! Du coup, on n’a pas du tout envie de l’enlever. Idem pour les élastiques, qui, en plus, se cachent très bien derrière les oreilles.
A mon sens, il n’y a pas à hésiter !
- Test COMPLET Désinfectant UV Portable GermCide X
- Meilleur Savon au Lait de Chèvre
- Test Crème à la Bave d’Escargot
- Savon au Charbon de Bambou Actif
- Meilleure Huile de ricin
- Meilleurs Rangements Maquillage en Acrylique
- Meilleur robot aspirateur
- Meilleur robot laveur de sol
- Meilleur robot laveur de vitres